Cette lubie vient et repart depuis des mois, aussi simplement qu'une envie de fraises, aussi éreintante qu'un thé que l'on réchauffe et qui redevient froid, aussi indécise qu'une groupie devant deux t-shirts de Twilight. Et ce n'est que lorsque les fringues deviennent importables qu'elles me sifflent et me griffent le dos pour que je ne m'endorme pas devant cette passion frustrée qui a commencé à s'installer plutôt confortablement. Et pourtant c'est loin d'être le côté confortable qui me chagrine et me fait me tortiller sur ma chaise ou dans la rue suivant du regard la démarche chaloupée des demoiselles qui ont sauté le pas. Et pour cause car peu de dames s'y risquent, été comme hiver, car socialement cette fois, c'est inconfortable. Tiraillée entre mon besoin de paraître, et cette lubie qui me ferait rêver d'être une écolière japon-iaise, je me dit que heureusement, il y a des lady comme Camille ou Andy pour nous échauffer les mirettes. Version cuir, ce serait une étape de plus à digérer, on peut donc aussi en rester au tartan (encore!) qui maintiendra nos petites consciences au chaud.
Mini jupe Red Valentino (similaire ici)
ooh love this leather skirt! the pleats are so pretty :D
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J'aime tes mots et leur rythme...
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