tu veux ou tu veux pas

mardi 19 février 2013

Designers | Dodo is in the house


Pourquoi un dodo refléterait-il un dressing dark, boyish, et presque aussi crispé que du skaï? On y va jusqu'aux cookies chez Topshop, ça en devient sévèrement addictif n'es-ce pas? D'où vient cette passion vous me demandez? Tout simple. Depuis l'an passé, on en prend plein la vue. J.W. Anderson nous pond une collection complète bardée d'emblèmes cultes et d'animaux. La présentation en livestream de sa collection fall 2013 est pourtant dans la veine minimaliste du moment, et un défilé de sa collaboration avec Topshop aurait surement fait des heureux, en mesurant ma satisfaction perso, et celle de l'équipe de Topshop dont la collection, selon eux, est plus déviante que jamais. Avec de la chance, votre soeur cachée  aurait finit par sortir de votre corps à la The Ring, ou vous auriez rencontré des jumelles dans un bout de couloir. Froid dans le dos.



L'imprimé cachemire de la précédente collection fera place à de l'underground, des godillots et des jupes plissées à la Battle Royale, mais aussi des touches pastel (suiveur ou casseur de codes?), des chaines au nez et des surprenants ensembles à carreaux et franges, que je mettrais bien volontiers dans mon panier virtuel (Jonathan William Anderson aussi apparemment) . Bon, ça, c'était avant que Topshop  ne débarque en France, du moins par petit morceau, car le corner de Lafayette Haussmann n'est rien de moins qu'un infime extrait légèrement frustrant de ce que les anglais(es) ont la chance d'avoir à deux pas. Alors je sais pas vous, mais moi, je retournerai bien dans le nid l'an prochain!

Mais pour la petite histoire, le dodo, "c'est du subconscient", dit J.W. Anderson. L'extinction, c'est le mot qui lie tout ça, et c'est ce que représente cette dernière collection avec Topshop. Whaaaat?! Trop dark le mec, il coupe même la collaboration au scalpel.


   

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire